L.U.C 1963 Chronograph
Réserve de marche: 60 h, 28800 alt/h
Poinçon de Genève
La noblesse d’un chronographe à remontage manuel
Derrière son apparence classique et élégante, la L.U.C 1963 Chronograph est une montre hautement technique et sophistiquée. Son calibre de chronographe à remontage manuel bénéficie d’une construction technique aboutie, et d’un degré de finitions particulièrement élevé, qui lui vaut de bénéficier du Poinçon de Genève. Son enracinement dans la tradition des beaux chronographes est le fruit d’une démarche complète - esthétique, technique et historique - mais aussi d’une passion personnelle de Karl-Friedrich Scheufele pour l’horlogerie traditionnelle dans ce qu’elle a de plus pur.
Les chronographes à remontage manuel incarnent un esprit de noblesse, de perfection technique et esthétique. Ils sont les grands classiques de la mesure des temps courts. Et comme ils ne sont pas munis d’une masse oscillante, qui dissimule au regard la plus grande partie du mouvement, ils se prêtent idéalement à une exécution de haute facture. La L.U.C 1963 Chronograph a ainsi tout d’une aristocrate de l’horlogerie.
L.U.C 1963 : une série commémorative
La L.U.C 1963 Chronograph est présentée en conjonction avec la L.U.C 1963. Toutes deux tirent leur nom de l’année où la famille Scheufele a fait l’acquisition de la Maison Chopard. Elles partagent le même dessin de boîte, qui fait écho aux montres de poche que Chopard produisait dans les années 1960. La boîte de la L.U.C 1963 Chronograph est en or rose 18ct et possède des flancs bombés à la finition brossée et une lunette polie, fine et arrondie. Karl-Friedrich Scheufele, Co-Président de Chopard, explique l’origine de la démarche. «J’ai toujours rêvé de faire un chronographe à remontage manuel. J’ai une véritable passion pour ce type de mouvement qui représente la quintessence de l’horlogerie traditionnelle dans ce qu’elle a de plus pur et de plus noble. Cette pièce était programmée depuis que nous avons lancé la L.U.C Chrono One en 2006 et, pour moi, c’est un rêve devenu réalité.»
Avec 42 mm de diamètre, la boite de la L.U.C 1963 Chronograph est parfaitement versatile. L’élégance de ses proportions est renforcée par l’exécution de son cadran, dont l’apparence classique est trompeuse. Les chiffres romains courbes sont propres aux collections L.U.C, ainsi que les aiguilles dauphines. Les aiguilles de la fonction chronographe, elles, sont rouges. Elles clarifient la lecture, dynamisent le cadran et sont un clin d’œil à la fonction première du chronographe : mesurer des évènements sportifs.
Un calibre chronographe à remontage manuel avec retour en vol
Le nouveau calibre L.U.C 03.07-L est une version à la fois plus simple et plus noble du calibre 03.03-L. Premier mouvement de chronographe manufacturé par Chopard, ce dernier est à remontage automatique. Et le L.U.C 03.07-L en reprend les caractéristiques techniques. La plus visible est la fonction retour en vol, dite aussi flyback. Elle permet d’enchainer les chronométrages sans avoir à remettre les compteurs à zéro en utilisant le poussoir situé à 4 heures. Son embrayage est vertical, ce qui garantit un démarrage plus fiable de la trotteuse de chronographe. Enfin, en tirant la couronne, la petite seconde située à 6 heures est remise et maintenue à zéro. Cela permet une synchronisation précise avec une heure de référence, une fonction qui découle de la vocation de chronomètre de la L.U.C 1963 Chrono. Celle-ci est rappelée à même le cadran par la mention « Chronometer » et certifiée par le Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres, le COSC.
Les différences entre le calibre L.U.C 03.07-L et son prédécesseur portent sur l’esthétique. Retirer la masse oscillante et les composants qui l’accompagnent dégage totalement la vue sur le mouvement. Les pièces nécessaires au chronographe occupent alors la majeure partie de l’espace visible au dos de la montre, sous la glace en verre saphir transparent : ponts, bascules, leviers et roue à colonne de couleur acier se détachent du fond couleur or. Ce contraste est renforcé par la variété des traitements de surface : perlage pour le fond, traits tirés pour les composants du chronographe, côtes de Genève pour les ponts. Ces derniers sont travaillés en maillechort, un alliage exigeant sur lequel toute rayure est irrattrapable.
La main assurée qui les décore n’a pas le droit à l’erreur. C’est elle qui en polit les angles, afin de créer le fil brillant et lisse qui dessine leur contour. Et précisément, la forme des ponts a été complètement redessinée. Les courbes, inflexions, coins et pointes sont autant de formes complexes à souligner, un terrain de jeu pour le travail manuel et artisanal. Ceci caractérise la volonté des ateliers de Chopard Maufacture de produire des mouvements dans l’esprit de la haute horlogerie traditionnelle. Cet aboutissement est récompensé du Poinçon de Genève, estampille réservée aux montres de la plus haute facture technique et esthétique.
Chopard affirme ici son attachement aux valeurs nobles de la haute horlogerie et à son histoire. Pièce maîtresse, la 1963 Chrono attendait de prendre sa place dans la collection L.U.C. Mais elle ne sera produite qu’à 50 exemplaires, un pour chaque année depuis que la famille Scheufele a racheté Chopard.
Un modèle spécial inspiré par et pour les Purists
C’est suite à une rencontre entre Karl-Friedrich Scheufele et le fameux groupe de collectionneurs The PuristS, en 2007, qu’est née l’idée d’un modèle chronographe qui leur soit destiné en priorité. Depuis lors, un dialogue ininterrompu a eu lieu sur le thème « à quoi ressemblerait un chronographe destiné aux PuristS », avec l’envie de créer un garde-temps intemporel qui représente l’essence même du chronographe à l’ancienne. C’est ainsi qu’est née une version acier du modèle L.U.C 1963 Chronograph, le modèle « PuristS », au cadran d’une grande pureté, sans date, en référence aux premiers chronographes. Ce modèle d’exception est édité en une série limitée de 50 exemplaires.