La Pointe de Sable
Réserve de marche: 38 h, 28800 alt/h
Mouvement squelette
Plus petit mouvement squelette au monde
UNE RENCONTRE
Lors d’un salon horloger à Londres, Philippe Narbel est plus que séduit par le mouvement TORTUE Lady crée par CLAUDE MEYLAN, il exprime son désir d’y adjoindre sa signature. Les deux Philippe finissent par se rencontrer à L’Abbaye, voisins sans le savoir, ils se découvrent, partagent de très fortes valeurs, une passion sans limite et par-dessus tout, la liberté de s’exprimer et de créer.
C’est ainsi que CLAUDE MEYLAN donne carte blanche à MANUFACTOR.
Il laisse aller ses pensées, va, vient, part et revient pour donner libre cours à son imagination et à l’expression de ses talents.
Il considère l’objet dans une globalité et dans un thème qui lui est cher. Nous sommes à L’Abbaye, à la Vallée de Joux, tout près du lac qui inspire tant de créations. Une arcature de la première abbaye datant de l’an 1126 subsiste, et un détail si particulier donne naissance à la gravure du couvercle de masse. Cette sculpture est un ancrage au village, un ancrage de la Maison CLAUDE MEYLAN dans son antre. Comme une fenêtre sur le lac, le cadra n et le pont de trois heures se muent en une seule et même œuvre, une gravure entièrement réalisée à la main alliant force et finesse pour suggérer un souffle sur le lac, le mouvement de la barque et la danse de la végétation environnante.
L’inspiration
L’œuvre est un point de vue unique et tout personnel sur le lac. Ces multiples détails et subtilités vous transportent et laissent libre court à votre imagination.
C’est au bord de l’eau, depuis « La pointe de sable », que Philippe Narbel et son atelier Manufactor ont créé cette pièce unique. Avec cette Sculpture du Temps, CLAUDE MEYLAN démontre qu’une montre féminine n’est surtout pas une réduction d’une pièce homme et encore moins une pièce forcement sertie...
Pour répondre aux attentes clairement exprimées de ses clientes Claude Meylan a développé un calibre ultra féminin pour Tortue Lady.
Les femmes disent vouloir :
- Arrêter de s’entendre dire qu’elles n’aiment pas la mécanique bien au contraire ! Elles préfèrent toutefois l’automatique !
- Souhaiter une certaine féminité, une alliance de courbes et de transparence, de légèreté...
- Aimer qu’il « se passe quelque chose » au sein de l’objet.
Fidèle à notre philosophie, Claude Meylan propose une association unique entre fiabilité, accessibilité et créativité.
C’est ainsi que sur une base ETA 2671, nous proposons une toute nouvelle construction d’un mouvement automatique : le cadran migre vers midi ; pour lui faire écho, la masse oscillante est « remontée » à six heures et devient une animation régulière.
De onze heures à seize heures, une courbe douce et galbée laisse apparaitre l’échappement et le balancier tandis que le pont de trois heures s’intègre aux décors souhaités.