Toledo 1952

MOUVEMENT À COMPLICATION ET VISAGE ORIGINAL SIGNENT LE RENOUVEAU DE LA TOLEDO 1952

Magie pour les uns, maîtrise pour les autres, une complication horlogère donne au temps plusieurs visages : celui du mystère qui fascine les esprits curieux, celui du défi qui fait la fierté des artisans horlogers. Réactualisant aujourd'hui son modèle né au cours des années 50, au boîtier savamment rectangulaire, Vacheron Constantin habille la Toledo 1952 d'un mécanisme à complication dont la discrète élégance anime avec originalité le cadran : un calendrier affichant le quantième, le jour de la semaine, le mois et les phases de lune. Les trois modèles inédits dosent avec art l'harmonie des formes, la finesse des matériaux et la complexité des mécanismes, dans un esprit résolument classique.

Ces nouveaux garde-temps viennent compléter une collection au boîtier étagé mettant en valeur de savantes cambrures et des attaches rondes aux formes généreuses. À décor de godrons, le boîtier est disponible en or gris, jaune ou en platine. Les heures et minutes tournent au gré d'aiguilles bâton dont la simplicité souligne l'originalité du cadran. Protégé par une glace légèrement bombée, celui-ci joue, avec succès, le rôle de vitrine de la complication. Les stylistes de la Maison ont agrémenté sa surface couleur ardoise ou argentée d'un calendrier quantième circulaire contrastant avec les fines rayures d'un guillochis vertical.

Tenant la vedette en costume d'argent clair qui fait ressortir l'acier bleui de son aiguille, le quantième donne la réplique à quatre chiffres arabes et quatre index carrés en or 18 carats appliqués sur le relief du cadran. Les phases de lune, quant à elles, entrent en scène à six heures. Les caches arrondis du disque de la lune portent le même décor que ce dernier, suggérant ainsi son perpétuel mouvement croissant et décroissant.

Le raffinement de la Toledo 1952 répond en écho à une parfaite maîtrise technique : la couronne frappée du symbole en croix de Malte corrige les heures, les minutes et les jours de la semaine. Trois poussoirs intégrés dans la carrure complètent discrètement le boîtier afin de régler, à l'aide d'un crayon correcteur, le mois, la date et les phases de lune. Les secondes s'affichent à six heures sur le pourtour de la phase de lune.

À son habillage caractéristique, la Toledo 1952 ajoute un mouvement dont la facture est exceptionnelle. Oscillant à 28 800 alternances par heure, comportant 36 rubis et réglé dans cinq positions, le calibre 1125 à remontage automatique offre une réserve de marche de plus de 40 heures. Dans la grande tradition des calibres de la Maison, les ponts sont découpés et anglés à la main, les flancs étirés à la lime et les vis minutieusement polies.

Ces mouvements soignés avec une patience exemplaire témoignent du sens aigu de la perfection et du savoir-faire perpétué depuis des siècles par de remarquables métiers d'art qui font la renommée de la manufacture Vacheron Constantin.

Faisant preuve d'un caractère aussi affirmé que raffiné, le boîtier à décor de godrons déploie un bracelet en cuir d'alligator mississipiensis, bombé et cousu main : bleu nuit pour la version platine, brun pour l'or jaune, noir pour l'or gris. Une boucle à ardillon en platine ou en or 18 carats jaune ou gris s'harmonise avec le boîtier et reprend la forme du symbole en croix de Malte. Les numéros individuels de fabrication sont gravés au dos du boîtier et sur le mouvement de chaque modèle. Le modèle platine, série limitée à 100 exemplaires, est numéroté à la main, en regard de neuf heures, sur la bande de carrure.

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