Golden Heart Limited Edition

Golden Heart : une romance pour l’éternité

1958, année faste pour la Maison qui rayonne dans le monde des stars avec un garde-temps extraordinaire, l’Eterna Matic « Golden heart ».  Le plus petit mouvement automatique au monde est l’alliance d’une prouesse technologique et d’un supplément d’âme inégalé : il renferme un rotor d’or. Cette montre ravissante et romantique gagne le cœur des icones mondiales du cinéma...Gina Lollobrigida, Brigitte Bardot l’adoptent et deviennent les porte-paroles d’Eterna.
Aujourd’hui, pour célébrer l’anniversaire de ses 160 ans, la Maison renoue avec cette saga et présente une nouvelle vision de la « Golden Heart » en édition limitée de 160 pièces.

1958 - « Golden Heart », le glamour des années 60

Fin des Fiftie’s, Eterna met au point le plus petit mouvement automatique au monde – 15,3MM de diamètre sur 5mm de hauteur. Il est doté d’un rotor sur roulement à billes en or massif, visible au dos de la boite dont le fond est en verre – le génie de l’ innovation  se marie avec exclusivité. Intégré dans un charmant boitier rond et plusieurs variantes de bracelets, il connaît un succès extraordinaire et conquiert les stars les plus éclatantes et convoitées du moment.

Avant même le lancement public de la « Golden Heart » Eterna, Gina Lollobrigida veut cette montre en or avant tout le monde. Elle la portera pour son trentième anniversaire le 4 juillet 1957 et en deviendra l’ambassadrice – ce dont témoigne des visuels  de presse hautement glamour de l’époque, retrouvées dans les archives de la Maison.
Autre star absolue du cinéma, Brigitte Bardot est également conquise par cette montre unique en son genre et sera, elle aussi, l’égérie de la « Golden Heart » sur le thème  « BB a trouvé son amour »
A trente ans, l’actrice italienne est au sommet de sa gloire et de sa carrière ; elle incarne un sex symbol qui fait tourner la tête des hommes du monde entier. BB, ultra sensuelle comme l’illustre le film culte de Roger Vadim, Et Dieu créa la femme (1956), est déjà la figure de la femme libérée annonçant les années 60. L’une et l’autre incarnent la femme fatale, à la fois hautement désirable, romantique et émancipée.

2016 - « Golden Heart », une réinterprétation d’un romantisme très contemporain

Perpétuant l’esprit d’origine, la Maison va encore plus loin : le rotor est désormais décoré avec un cœur, 18 carats 4N. Visibles au dos par un fond saphir, ses pulsations animent l’énergie de la montre...Le nom du garde temps est pleinement illustré.

La boîte garde son volume sphérique initiale et se présente comme un contenant précieux ; elle est dotée d’un retour de métal circulaire enchâssant la glace saphir. Le cadran en nacre accueille les index : 8 diamants ronds et quatre appliques acier formées de chiffres romains.

Le profil  de la boite est ornée sur l’ensemble du pourtour d’une frise décorative. Le métal délicatement perforé laisse apparaître des reflets bleutés par effet de transparence. Ces motifs stylisés évoquent une spirale ou une vague et ne sont pas sans rappeler les formes   des poteries antiques de Clin d’œil à Saint Tropez, Rome et à la Dolce Vita...

Le même bleu, intense et profond, se retrouve dans le spinelle inséré dans la couronne du remontoir et se marie parfaitement avec l’acier du boitier et du bracelet.

Le Bracelet, quant à lui, reprend dans un traitement contemporain le type d’attache et de cordon typiques des années 30.  Mais, alors que les cordons de l’epoque  étaient en cuir ou en tissu, il est aujourd’hui en acier tressé sur la base d’une maille milanaise ; il garde toute la souplesse d’origine et confère une tonalité couture revisitée, en harmonie avec le corps de la montre.
Sobre, distinguée,  gracieuse et  féminine, « Golden Heart » développe ses nouveaux attributs tout en cultivant les signes d’origine, ceux d’un glamour très 60’s... A l’image des deux égéries cultes de 1958.